Aux côtés de mes collègues Frédéric Petit, Jean-Louis Roumégas et Marine Hamelet de la commission des affaires étrangères, j’ai participé à des réflexions sur ce sujet complexe, au cœur de l’un des foyers de tensions encore ouverts aux portes de l’Union européenne.

 

🔎 Depuis l’indépendance autoproclamée du Kosovo en 2008, deux récits s’affrontent par slogans interposés :
👉 « Kosovo is Serbia » – le cri du cœur scandé par les Serbes dans les rues de Belgrade, une revendication identitaire liée aux liens historiques que le pays nourrit avec ce territoire.
👉 « La liberté a un nom : UÇK » – repris en chœur lors des rassemblements à Pristina en référence à l’armée de libération du Kosovo, un symbole de résistance et de liberté pour les Albanais du Kosovo.

Deux récits, deux vérités, deux douleurs… et un même territoire.

 

🤝 Raviver le dialogue, c’est préparer la paix de demain.

Ce dialogue doit permettre de dépasser les blessures, de reconnaître l’humanité de l’autre et de bâtir un avenir commun fondé sur la dignité et la sécurité de chacun.

 

🇪🇺 L’Union européenne doit être l’horizon commun : l’avenir de la Serbie comme du Kosovo doit se construire en son sein.

Il est temps de bâtir des ponts, pas des murs.

L’avenir a un nom : la paix.

 

📄 Vous pouvez consulter le rapport ici : contribution parlementaire à la définition d’un accord de paix entre la Serbie et le Kosovo